Auteur : B.F. Parry
Édition : Hachette / Hildegarde
332 pages
16.50€
Eliott, 12 ans, est un garçon en apparence comme tous les autres. Jusqu au jour où il découvre un sablier magique qui lui permet de voyager dans un monde aussi merveilleux que dangereux :
Oniria, le monde des rêves. Un monde où prennent vie les milliards de personnages, d univers, et toutes les choses les plus folles et les plus effrayantes rêvées chaque nuit par les êtres
humains. Collégien ordinaire le jour, Eliott devient la nuit, parmi les rêves et les cauchemars qui peuplent Oniria, un puissant Créateur, qui peut faire apparaître tout ce qu il souhaite
par le simple et immense pouvoir de son imagination. En explorant Oniria pour sauver son père, plongé depuis plusieurs mois dans un mystérieux sommeil, Eliott est finalement confronté à
son extraordinaire destin. Car Eliott est l « Envoyé » : il doit sauver le Royaume des rêves, menacé par la sanglante révolution des cauchemars.
Vous avez sans doute lu plusieurs avis sur ce livre. Moi même, avant la fin de ma lecture, je me suis laissée tenter et je suis allée voir les avis d'autres blogueurs. Et j'ai vu beaucoup de positif.
Certains un peu nuancés, mais dans l'ensemble beaucoup de bien... Et ma chronique ne va pas vraiment changer cette tendance.
J'ai vraiment aimé ce livre ! Mais pourtant, ce n'est pas un coup de cœur. Quelques petites choses m'ont "chiffonné" mais rien de trop important !
Puisqu'il n'y a pas grand chose à dire de ce côté là, commençons par le "négatif" (j'aime pas vraiment ce mot mais bon...). Tout d'abord le résumé... Il nous donne l'eau à la bouche, pas de problème là-dessus.
Mais sans vous spoiler, quand on a lu le livre, on se rend compte que le résumé semble avoir pris de l'avance sur l'histoire de ce premier tome. Heureusement, je n'ai pas lu "assez" le résumé pour me souvenir de ce petit détail. C'est en cherchant le résumé pour cette chronique que je me suis aperçue de cela... Et je trouve ça un peu dommage à vrai dire...
Après, il y a un passage du roman que, sur le coup, j'ai trouvé un peu long. Pourtant cela prend tout son sens dans l'histoire, mais je pense que j'étais tellement dans l'histoire que j'aurais voulu que ça avance plus vite, qu'il y ait plus d'action. Mais j'avoue qu'à y penser de nouveau, ce passage a son propre intérêt. Certes, il ne fait pas avancer l'histoire à grande vitesse mais elle permet de mettre en place certains éléments de l'univers. Donc à bien peser tout cela, il n'y a pas un fond négatif dans cette partie de l'histoire.
Passons maintenant au reste de ce roman.
J'ai tout d'abord vraiment aimé l'idée de base. Qui n'aimerait pas se balader dans un monde où les rêves sont présents ? Les rêves ne sont pas souvent utilisés dans les romans et pourtant, pour moi, le roman (et donc l'imaginaire) est le meilleur endroit pour développer les rêves, pour les utiliser. L'écriture ne nous donne pas franchement de limite, tout comme les rêves. Et ici, c'est le centre de l'histoire. Oniria est un univers où les rêves prennent vie. Les cauchemars aussi, certes, mais comme dans tout monde, il y a du bon et du moins bon...
Dans l'histoire, on voyage beaucoup dans cet univers mais on ne perd pas le monde réel des yeux pour autant. Comme dans la vie de tous les jours, Eliott évolue dans un monde comme dans l'autre au fur et à mesure de sa vie et de son sommeil.
Puisque j'évoque Eliott, parlons un peu des personnages. Il y en a pour tous les goûts. Des héros qu'on aime supporter, des "méchants" qu'on aimerait chasser, des êtres spéciaux qui illustrent très bien la diversité d'Oniria. J'ai aimé l'idée de noms un peu "spéciaux". Certes les humains ont des noms "banals" mais pour Oniria, je n'aurais pas imaginé des noms classiques. L'auteur ne m'a pas déçu pour cela. On trouve des noms comme "Aanor" ou "Katsia" qui sortent de l'ordinaire.
Certains personnages d'Oniria m'ont fait pensé à des personnages d'univers de jeux vidéo (d'ailleurs, je pense que ce livre pourrait donner de bonnes idées pour un jeu vidéo, mais ça c'est une autre histoire). Comme on peut s'en douter avec un monde fait de rêves, il y a un côté magique chez ces personnages, qui donne une vraie fraicheur au récit.
Pour l'histoire en elle-même, elle n'est pas si simple que cela. Certes on peut se douter du fond de l'histoire, mais elle n'est pas plate. C'est pour moi une histoire à "tiroirs". Quand Eliott arrive pour la première fois à Oniria, il a un but. On pense que l'histoire va se cantonner à cela. Mais non ! Sa "quête" aura un autre but.
J'ai eu peur pendant un moment que le tome 1 dévoile trop de l'histoire, au risque que le tome 2 est un intérêt limité. Mais ce n'est pas le cas. La fin est pour moi très bien trouvée. Elle garde tout l'intérêt de l'histoire et amène une réelle envie de lire la suite...
D'ailleurs elle arrive quand la suite ? Eh bien bonne question ! Très bonne trouvaille marketing : à la fin, une page vous "demande" si ce livre vous a plu. Elle en profite aussi pour nous donner le titre du tome 2... Donc on espère une date de sortie... Mais on ne l'aura pas ! Très bien trouvé Hachette ! Vraiment malin !
Il ne me reste donc plus qu'à attendre avec impatience la suite parce que vraiment, je ne veux pas laisser les personnages et cet univers magique !
Certains un peu nuancés, mais dans l'ensemble beaucoup de bien... Et ma chronique ne va pas vraiment changer cette tendance.
J'ai vraiment aimé ce livre ! Mais pourtant, ce n'est pas un coup de cœur. Quelques petites choses m'ont "chiffonné" mais rien de trop important !
Puisqu'il n'y a pas grand chose à dire de ce côté là, commençons par le "négatif" (j'aime pas vraiment ce mot mais bon...). Tout d'abord le résumé... Il nous donne l'eau à la bouche, pas de problème là-dessus.
Mais sans vous spoiler, quand on a lu le livre, on se rend compte que le résumé semble avoir pris de l'avance sur l'histoire de ce premier tome. Heureusement, je n'ai pas lu "assez" le résumé pour me souvenir de ce petit détail. C'est en cherchant le résumé pour cette chronique que je me suis aperçue de cela... Et je trouve ça un peu dommage à vrai dire...
Après, il y a un passage du roman que, sur le coup, j'ai trouvé un peu long. Pourtant cela prend tout son sens dans l'histoire, mais je pense que j'étais tellement dans l'histoire que j'aurais voulu que ça avance plus vite, qu'il y ait plus d'action. Mais j'avoue qu'à y penser de nouveau, ce passage a son propre intérêt. Certes, il ne fait pas avancer l'histoire à grande vitesse mais elle permet de mettre en place certains éléments de l'univers. Donc à bien peser tout cela, il n'y a pas un fond négatif dans cette partie de l'histoire.
Passons maintenant au reste de ce roman.
J'ai tout d'abord vraiment aimé l'idée de base. Qui n'aimerait pas se balader dans un monde où les rêves sont présents ? Les rêves ne sont pas souvent utilisés dans les romans et pourtant, pour moi, le roman (et donc l'imaginaire) est le meilleur endroit pour développer les rêves, pour les utiliser. L'écriture ne nous donne pas franchement de limite, tout comme les rêves. Et ici, c'est le centre de l'histoire. Oniria est un univers où les rêves prennent vie. Les cauchemars aussi, certes, mais comme dans tout monde, il y a du bon et du moins bon...
Dans l'histoire, on voyage beaucoup dans cet univers mais on ne perd pas le monde réel des yeux pour autant. Comme dans la vie de tous les jours, Eliott évolue dans un monde comme dans l'autre au fur et à mesure de sa vie et de son sommeil.
Puisque j'évoque Eliott, parlons un peu des personnages. Il y en a pour tous les goûts. Des héros qu'on aime supporter, des "méchants" qu'on aimerait chasser, des êtres spéciaux qui illustrent très bien la diversité d'Oniria. J'ai aimé l'idée de noms un peu "spéciaux". Certes les humains ont des noms "banals" mais pour Oniria, je n'aurais pas imaginé des noms classiques. L'auteur ne m'a pas déçu pour cela. On trouve des noms comme "Aanor" ou "Katsia" qui sortent de l'ordinaire.
Certains personnages d'Oniria m'ont fait pensé à des personnages d'univers de jeux vidéo (d'ailleurs, je pense que ce livre pourrait donner de bonnes idées pour un jeu vidéo, mais ça c'est une autre histoire). Comme on peut s'en douter avec un monde fait de rêves, il y a un côté magique chez ces personnages, qui donne une vraie fraicheur au récit.
Pour l'histoire en elle-même, elle n'est pas si simple que cela. Certes on peut se douter du fond de l'histoire, mais elle n'est pas plate. C'est pour moi une histoire à "tiroirs". Quand Eliott arrive pour la première fois à Oniria, il a un but. On pense que l'histoire va se cantonner à cela. Mais non ! Sa "quête" aura un autre but.
J'ai eu peur pendant un moment que le tome 1 dévoile trop de l'histoire, au risque que le tome 2 est un intérêt limité. Mais ce n'est pas le cas. La fin est pour moi très bien trouvée. Elle garde tout l'intérêt de l'histoire et amène une réelle envie de lire la suite...
D'ailleurs elle arrive quand la suite ? Eh bien bonne question ! Très bonne trouvaille marketing : à la fin, une page vous "demande" si ce livre vous a plu. Elle en profite aussi pour nous donner le titre du tome 2... Donc on espère une date de sortie... Mais on ne l'aura pas ! Très bien trouvé Hachette ! Vraiment malin !
Il ne me reste donc plus qu'à attendre avec impatience la suite parce que vraiment, je ne veux pas laisser les personnages et cet univers magique !
MA CONCLUSION
Une histoire magique, très prenante, sur un sujet trop peu souvent utilisé. Une excellente lecture même si un passage m'a sur le coup, lors de ma lecture, fait perdre un peu le rythme.
Ohhhhh la couverture donne très envie de découvrir le roman.
RépondreSupprimerEt cette chronique encore plus :)
Merciiii